La Plaza St-Hubert, dans l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie à Montréal, verra deux mini-bus autonomes Keolis rouler dans ses rues cet automne, et ce, gratuitement. Toutefois, ce n'est pas tant le véhicule électrique lui-même qui fait jaser, mais bien ce qui est écrit sur le modèle de démonstration.
La Ville de Montréal a présenté ce petit bidule qui arbore la couleur de la métropole, soit le rouge, ainsi que sont emblème. Par contre, le bus présenté dans quelques médias québécois, dont La Presse, n'était pas tout à fait pareil.
C'est le nom de l'entreprise franco-québécoise en gros format sur le côté du bus qui a surtout retenu l'attention, puisque Keolis peut drôlement sonner comme l'un des blasphème préféré de la population : « calice ».
@LeaStreliski Plus je le prononce, plus ça sonne comme Bob https://t.co/ZKQ6Dj1zLi
— Arsen (@bjdowney79) 1631189529.0
Cela n'a pas été long qu'une pluie de blagues et jeux de mots a déferlé sur Twitter et les réseaux sociaux.
« C'est un Keolis de beaux nom pourtant », a écrit cet internaute.
C'est certain qu'en le disant vite, il pourrait y avoir certains malentendus.
L'Arrondissement de Rosemont - La Petite-Patrie a partagé une photo pour montrer la vraie allure que les deux bus auront, lorsqu'ils seront mis en service d'octobre à décembre 2021, lors d'une première phase de lancement.
Ils pourront rouler jusqu'à un maximum de 20 km/h et seront retirés dès la première neige.
Alors que certain.es saluent l'arrivée de ces bus, d'autres remettent en question le nombre de personne qui pourront y monter en même temps, soit cinq, en plus d'un.e opérateur.trice en cas d'urgence, et sa petitesse.
À noter que Keolis est une société déjà établie au pays et offre déjà des services de transports en commun à travers le Grand Montréal, entre autres.
À noter que l'écriture inclusive est utilisée pour la rédaction de nos articles. Pour en apprendre plus sur le sujet, tu peux consulter la page de l'OQLF.
La photo de couverture est utilisée à titre indicatif seulement.
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